Du 19 au 22 mai 2024, le KKL de France a amené, pour la 3e fois depuis le 7 octobre, un groupe de journalistes, d’écrivains, de chroniqueurs en Israël. Pendant 4 jours du nord au sud d’Israël, cette délégation est allée sur les lieux des atrocités commises le 7 octobre par les barbares terroristes du Hamas et de leurs complices.
LA VIE JUIVE EST DIFFÉRENTE DEPUIS LE 7 OCTOBRE. Cette année sera elle aussi différente pour la marche pour l’eau. Si certains randonnent, d’autres marcheront et tous iront au contact de la terre d’Israël.
Le KKL de France a organisé un voyage en Israël pour un groupe de jeunes. Sur place, nous avons été confrontés à la dure réalité de la guerre et aux horreurs du pogrom perpétré le 7 octobre. Au milieu des champs de ruines des kibboutzim et à travers les nombreux témoignages poignants, nous avons pris conscience de la souffrance qui persistent dans cette région. Malgré tout, nous avons célébré la vie dans un esprit de solidarité et d’humanisme. Ce voyage a renforcé leurs liens et leur engagement envers le volontariat, les incitant à contribuer positivement à leur communauté à leur retour en France.
Le KKL de France a organisé un voyage de soutien en Israël. Lors de ce voyage de solidarité, le groupe a participé à du volontariat agricole. Mais aussi à de nombreuses visites et témoignages, leurs donnant un aperçu de la situation en Israël. Chaque intervenants a pu parler de son histoire.
Une délégation de journalistes et de leaders de l’opinion publique française était présente en Israël du 29 octobre au 1er novembre 2023 pour constater par eux-mêmes à quoi Israël et sa population sont confrontés, de discuter avec des experts et des décideurs israéliens d’opinions diverses et de rencontrer des témoignages d’habitants qui ont survécu à la terrible attaque terroriste du 7 octobre.
« Malgré la guerre, votre venue sur place exprime votre solidarité et vous permettra de rendre compte au monde des atrocités qui ont eu lieu ici », a déclaré Daniel Benlolo, Délégué général du KKL de France, lors de la soirée d’ouverture.
« Le KKL-JNF a été parmi les premières organisations qui se sont mobilisé pour aider les communautés des villes et villages situées autour de la bande de Gaza », a déclaré le directeur général du KKL-JNF, Yuval Eini, soulignant que, entre autres, le KKL-JNF avait aidé à l’évacuation des habitants, proposé des activités éducatives pour les enfants, soutenu financièrement les autorités locales et fourni des équipements d’urgence et l’achat d’ambulances. « Tout comme le KKL-JNF a été un partenaire dans la création des premiers villages juifs sur la terre d’Israël, il contribuera à leur réhabilitation à l’avenir », a-t-il ajouté.
Daniel Saada, diplomate de carrière, ancien ambassadeur dans plusieurs pays d’Afrique, ancien chargé d’affaires de l’Ambassade d’Israël en France.
Alon Schuster, Député, ancien ministre de l’Agriculture, ancien vice-ministre de la Défense et ancien chef du Conseil régional de Shaar Hanegev.
Yossi Kuperwasser, Brigadier Général de réserve, ancien chef de la division de recherche du renseignement militaire, et ancien directeur général du ministère des Affaires internationales et Stratégie.
Itamar Marcus, chercheur, fondateur et directeur de « Palestinian Media Watch » qui étudie la société palestinienne en surveillant et en analysant l’Autorité palestinienne à travers ses médias et ses manuels scolaires.
Maurice Hirsch, Lieutenant Colonel de réserve, avocat expert en Droit international spécialisé dans la poursuite en justice des terroristes, de l’Autorité palestinienne et de l’application du droit en Judée Samarie.
Or Yissachar, Directeur du département de recherches du Forum de défense et de sécurité israélienne.
Hasson Hasson, Brigadier General de réserve issu de la communauté Druze, qui œuvre pour une alliance forte entre les communautés. Tout au long de sa carrière il a ocuupé des postes militaires comme, conseiller militaire au cabinet du premier ministre mais également au quartier général de la lutte anti-terrorisme. Il est aujourd’hui représentant de l’armée au cabinet sécuritaire.
« Gaza pendant et après la guerre »
Yaacov Amidror, Général de réserve, membre de l’Institut de Jérusalem pour la stratégie et la sécurité, ancien chef du Conseil de sécurité nationale, ancien chef de la division de recherche du renseignement militaire, ancien secrétaire militaire du ministre de la Défense.
Dr Robert Zbili – Président du KKL de France
Frank Tapiro – Publicitaire
Ivan Rioufol – Journaliste – Essayiste
André Bercoff – Journaliste et écrivain
Amine El Khatmi – Personnalité du secteur des médias – Essayiste
Denis Olivennes – Patron de presse – Essayiste
Harold Hyman – Journaliste à CNews
Élisabeth Levy – Directrice de la rédaction de Causeur
« Bonjour mes chers frères et sœurs. Un mois s’est écoulé depuis que notre monde a changé à jamais.
Le massacre perpétré par le Hamas dans le sud d’Israël nous a confrontés à un mal qui ne devrait pas exister dans le monde moderne. Et face à cela, nous devons être déterminés : il ne s’agit pas seulement d’une guerre entre Israël et le Hamas. Israël est peut-être celui qui combat sur le terrain, mais il se bat pour tous les citoyens des pays du monde entier. Nous sommes déterminés à lutter contre ce mal.
Mes frères et sœurs, devant ma fenêtre ici à Jérusalem, je vois un pays qui prospère malgré tout. Au moment où je vous parle, nos fils et nos filles portent des uniformes et se battent sur la ligne de front pour nous protéger.
Les Israéliens de tous les secteurs et de toutes les communautés se rassemblent de manière extraordinaire. Les communautés juives du monde entier se mobilisent avec une vigueur sans précédent, je reçois des offres de soutien et de solidarité de tous les coins du monde. Israël est responsable des uns envers les autres. Israël est là pour vous, et vous êtes là pour Israël.
Après les massacres, nous avons assisté à une vague effrayante d’antisémitisme qui s’est levée dans le monde entier : des étoiles de David dessinées sur de nombreuses maisons en France, des familles à Londres enlevant leur mezouza par peur d’être attaquées, des manifestations de haine partout dans le monde, parmi lesquelles un manifestant juif âgé qui a été tué à Los Angeles. Ce fait révèle le lien étroit entre l’antisémitisme et l’antisionisme. C’est le moment de nous accrocher à nos valeurs et à notre vérité. Il faut du courage et de la clarté morale pour le défendre.
Nous en sortirons plus forts, j’en suis sûr, et je vous envoie mes salutations chaleureuses, chers frères et sœurs du monde entier, depuis la Maison du Président dans notre capitale éternelle, Jérusalem.
Am Israël Haï ! »
L’affiche des 239 otages a été publié en Allemagne par la rédaction de Bild, a été publié en Angleterre par la rédaction du Sunday Times, elle est publiée aujourd’hui, 46 jours après leur détention, à l’initiative du KKL de France dans le journal Le Monde.
239 otages retenus à Gaza, dont 8 Français, qui n’ont pas eu droit à un hommage national, ni décompte journaliers dans les journaux télévisés.
Nous pensons à eux ! Nous continuerons à agir pour leur liberté. #BringThemHomeNow
Lundi 20 novembre 2023, c’est le 45ème jour de détention de plus de 30 enfants kidnappés par le Hamas.
Depuis les attaques terroristes perpétrées par le Hamas, plus de 30 enfants kidnappés chez eux sont aux mains des groupes terroristes palestiniens et de leurs complices. Le plus jeune a maintenant 10 mois et à cela s’ajoute un bébé né en captivité dans des conditions qui nous sont inconnues.
La Journée mondiale de l’enfance, créée en 1954 par les Nations Unies, est célébrée chaque année, le 20 novembre, afin de promouvoir le respect et les droits fondamentaux des enfants. Aujourd’hui aucune grandes institutions internationales (Nations Unies, Comité Internationale de La Croix Rouge) ne donne de réponses concernant les conditions de détentions des otages et personne ne s’est rendu sur place.
Il faut qu’ils reviennent maintenant à la maison ! Bring them back home now !
C’est notre cri devant le Monde entier !
#BringThemBackHomeNow
Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine élaboré par le Comité spécial des Nations unies sur la Palestine (UNSCOP) créé par l’Assemblée générale des Nations Unies, est approuvé par cette dernière à New York, par le vote de sa résolution 181. Ce plan prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, tandis que la ville de Jérusalem et ses lieux saints sont placés sous contrôle international en tant que « corpus separatum ».
La partie attribuée au futur État juif est constituée des terres très majoritairement habitées par la population juive, dont la plupart ont été rachetées par le Keren Kayemet LeIsrael (KKL) dès le début du 20e siècle qui les a rendues habitables et cultivables.
La première partie du plan précise les dispositions de la fin du mandat britannique, du partage et de l’indépendance des deux futures états et que le mandat doit se terminer dès que possible. Les Britanniques prévoient de se retirer le 1er août 1948 et le partage doit être réalisé au 1er octobre de la même année. La seconde partie du plan inclut une description détaillée des frontières proposées pour chaque État.
Le plan est accepté par les dirigeants du Yichouv. Il est rejeté par la quasi-totalité des dirigeants de la communauté arabe, y compris par le Haut Comité arabe palestinien, appuyé par la Ligue arabe qui annonce ses intentions de prendre « toutes les mesures nécessaires pour empêcher l’exécution de la résolution » et par certains États arabes qui déclarent leur intention d’attaquer l’État juif. Des émeutes et des attaques contre les juifs éclatent le lendemain du vote en Palestine mandataire, dans la plupart des pays arabes, où vivent plusieurs centaines de milliers de Juifs qui seront obligés de fuir leur terre après la création d’Israël.
Le 14 mai 1948, David Ben Gurion déclare la création de l’Etat d’Israël. Le lendemain, les troupes britanniques quittent la Palestine mandataire et les armées des pays arabes entourant le nouvel Etat déclenchent les hostilités.
La guerre d’Indépendance commence !
Avant et après le 7 octobre 2023, la communication familiale et communautaire. Lors de la conférence Zoom, Anat Elhayany, experte en éducation et coaching parental, guidera la discussion sur la confiance en période de changements majeurs. En explorant les impacts de la récente période difficile, elle abordera la communication familiale et communautaire, les perturbations inévitables de la routine scolaire, familiale et sociale.
Nous parlerons de la période que nous vivons, de la phrase dite et redite après le shabbat « noir » : « je suis restée sans voix ». Rejoignez-nous pour cette conférence captivante qui offrira des perspectives enrichissantes sur des sujets d’actualité et des défis humains universels.
La conférence sera animée par Anat Elhayany, Educatrice, coach parentale et familiale. Le dimanche 19 novembre 2023 à 11h (heure française)
Retrouvez la Diaspora Defense Forces pour un coaching spécial histoire avec Barbara Lefèbvre, Historienne et Chroniqueuse, Martine Gozlan, Journaliste, Michaël Prazan, Écrivain et Réalisateur et Iannis Roder, Professeur Agrégé d’Histoire.
Le mercredi 22 novembre à 20h au Salon Hoche
Le KKL remercie Zaka pour ses actions et vous convie à l’allumage de la 8ème bougie de Hanouka pour soutenir Zaka.
ZAKA est une organisation volontaire humanitaire, coordonnant près de 3856 volontaires, répondant aux incidents tragiques en Israël. ZAKA a émergé en Israël, comme l’organisation non gouvernementale prédominante de secours, de recherche et de sauvetage, travaillant côte à côte avec les forces de police et de secours en répondant aux incidents du terrorisme, des accidents ou des désastres.
Jeudi 14 décembre 2023 à 19h, en la Grande Synagogue de Paris, 44 Rue de la Victoire, 75009 Paris.
OUVERTURE DES PORTES 18h30
Dress code : haut blanc.